La Libération de Mons
Le 9 novembre, le Princess Patricia’s Canadian Light Infantry atteint la banlieue de Jemappes, ce qui représente une avance d’environ 8 kilomètres. Tandis qu’à la tombée du jour, des troupes de la 2e division canadienne parviennent à une ligne qui, du village de Bougnies, s’oriente au nord-ouest jusqu’à la limite de secteur de la 3e division sur la route de Frameries à Mons.
Mons ! Tout un symbole pour les Britanniques où pour la première fois en août 1914, ils rencontraient l’adversaire allemand. Aussi sir Henry Horne, commandant la première armée britannique et supérieur de Currie, exige que la ville soit reprise et libérée avant la fin de la guerre. Un ordre est un ordre et Currie doit obéir. Certes des rumeurs courent que la guerre touche réellement à sa fin, que l’armistice va être signé. Mais il y a déjà eu tant de rumeurs semblables. Et puis les Canadiens sont aux portes de Mons. Currie songe alors à s’emparer de la ville grâce à une manoeuvre d’encerclement. Il ordonne à la 2e Division (Major-Général H.E. Burstall) de contourner Mons par le côté sud et de s’emparer des terrains élevés à l’est, tandis que la 3e Division (Major-Général F.O.W. Loomis) devra capturer la banlieue de Nimy et puis s’infiltrer jusqu’au coeur de la Cité montoise.
Mons ! Tout un symbole pour les Britanniques où pour la première fois en août 1914, ils rencontraient l’adversaire allemand. Aussi sir Henry Horne, commandant la première armée britannique et supérieur de Currie, exige que la ville soit reprise et libérée avant la fin de la guerre. Un ordre est un ordre et Currie doit obéir. Certes des rumeurs courent que la guerre touche réellement à sa fin, que l’armistice va être signé. Mais il y a déjà eu tant de rumeurs semblables. Et puis les Canadiens sont aux portes de Mons. Currie songe alors à s’emparer de la ville grâce à une manoeuvre d’encerclement. Il ordonne à la 2e Division (Major-Général H.E. Burstall) de contourner Mons par le côté sud et de s’emparer des terrains élevés à l’est, tandis que la 3e Division (Major-Général F.O.W. Loomis) devra capturer la banlieue de Nimy et puis s’infiltrer jusqu’au coeur de la Cité montoise.
Les principaux centres de résistance allemands se situaient au Bois-là-Haut et à Hyon et des mitrailleuses étaient disposées aux abords de la ville.
Le 10 novembre, durant la nuit, le 19e Bataillon occupe Hyon, mais la résistance allemande tient bon jusqu’ à 3 h 15 du matin au Bois-là-Haut. L’honneur de pénétrer dans la ville échoit à la 7e Brigade (brigadier-général J.A. Clark). Il est environ 23 h 00, lorsque des pelotons du 42e Bataillon entrent dans Mons et commencent à libérer l’est de la ville, pendant qu’une compagnie du 42e et une compagnie du Royal Canadian Regiment (RCR) pénètrent dans la ville par le nord. Enfin, une troisième infiltration est accomplie par une compagnie du RCR à l’extrémité nord-ouest de Mons. Plus au nord, le bataillon avait nettoyé Ghlin, traversé le canal et s’était emparé de Nimy et du Petit-Nimy.
Le 11 novembre dès 5 h 00, les premiers officiers du corps canadien signent le livre d’or de la Ville, notamment le Lieutenant W.M. King du Royal Canadian Regiment, le Lieutenant L.H. Biggar du 42e bataillon et le Major C.G. Blackstock de la 3e Division.
Au lever du jour du 11 novembre, les troupes des deux bataillons de la 7e Brigade avaient libéré Mons. À 6 h 30, un télégramme provient au quartier général du Général Currie, indiquant que les hostilités cesseront à 11 h 00. La poursuite des troupes allemandes continue malgré tout, gagnant une ligne de 8 kilomètres au nord-est de la ville. Dans le secteur de la 3e Division, le 5th Royal Irish Lancers atteignait Saint-Denis et à droite, l’infanterie de la 2e Division entrait à Havré et nettoyait le bois du Rapois.
Vers 7 h 00, les Pipers du 42e Bataillon Royal Highlanders of Canada entraient en ville au son de la musique.
Les pertes globales des 2e et 3e Divisions canadiennes s’élevaient pour les 10 et 11 novembre à 18 officiers et 262 hommes tués, blessés ou disparus.
Le 10 novembre, durant la nuit, le 19e Bataillon occupe Hyon, mais la résistance allemande tient bon jusqu’ à 3 h 15 du matin au Bois-là-Haut. L’honneur de pénétrer dans la ville échoit à la 7e Brigade (brigadier-général J.A. Clark). Il est environ 23 h 00, lorsque des pelotons du 42e Bataillon entrent dans Mons et commencent à libérer l’est de la ville, pendant qu’une compagnie du 42e et une compagnie du Royal Canadian Regiment (RCR) pénètrent dans la ville par le nord. Enfin, une troisième infiltration est accomplie par une compagnie du RCR à l’extrémité nord-ouest de Mons. Plus au nord, le bataillon avait nettoyé Ghlin, traversé le canal et s’était emparé de Nimy et du Petit-Nimy.
Le 11 novembre dès 5 h 00, les premiers officiers du corps canadien signent le livre d’or de la Ville, notamment le Lieutenant W.M. King du Royal Canadian Regiment, le Lieutenant L.H. Biggar du 42e bataillon et le Major C.G. Blackstock de la 3e Division.
Au lever du jour du 11 novembre, les troupes des deux bataillons de la 7e Brigade avaient libéré Mons. À 6 h 30, un télégramme provient au quartier général du Général Currie, indiquant que les hostilités cesseront à 11 h 00. La poursuite des troupes allemandes continue malgré tout, gagnant une ligne de 8 kilomètres au nord-est de la ville. Dans le secteur de la 3e Division, le 5th Royal Irish Lancers atteignait Saint-Denis et à droite, l’infanterie de la 2e Division entrait à Havré et nettoyait le bois du Rapois.
Vers 7 h 00, les Pipers du 42e Bataillon Royal Highlanders of Canada entraient en ville au son de la musique.
Les pertes globales des 2e et 3e Divisions canadiennes s’élevaient pour les 10 et 11 novembre à 18 officiers et 262 hommes tués, blessés ou disparus.