Instant suspendu / Laurence Vray
Lieu de l’oeuvre : rue d’Enghien, 19 - 7000 Mons
Photographe, Laurence Vray allie une sensibilité «intime» - car loin des éclats de la mode. Elle procède, avec autant de rigueur que de retenue, à dévoiler une intimité possible avec le monde. La légèreté de son regard est grave et la gravité de ses vues est légère. Ainsi, par un paradoxe dont elle a longuement construit le secret, elle compose avec une assidue simplicité : une oeuvre pour la paix. Artiste montoise, Laurence capture l'intime et la légèreté et nous le transmet. Elle travaille sur la thématique de l'eau et des eaux-mères. Véritable baignade silencieuse, cette série nous offre une parenthèse solitaire explorant les résonances de l'eau, ses cours et ses flux. La photographe joue sur les oppositions entre présence et absence, solitude et compagnie, féminité et masculinité, fragilité et inaltérabilité de cet élément originel. Le focus est aussi mis sur les eaux-mères, où le temps n'est pas encore linéaire, où la lumière joue encore de ses ombres entre les parois utérines, où la vie est en pure relation amoureuse...
Photographe, Laurence Vray allie une sensibilité «intime» - car loin des éclats de la mode. Elle procède, avec autant de rigueur que de retenue, à dévoiler une intimité possible avec le monde. La légèreté de son regard est grave et la gravité de ses vues est légère. Ainsi, par un paradoxe dont elle a longuement construit le secret, elle compose avec une assidue simplicité : une oeuvre pour la paix. Artiste montoise, Laurence capture l'intime et la légèreté et nous le transmet. Elle travaille sur la thématique de l'eau et des eaux-mères. Véritable baignade silencieuse, cette série nous offre une parenthèse solitaire explorant les résonances de l'eau, ses cours et ses flux. La photographe joue sur les oppositions entre présence et absence, solitude et compagnie, féminité et masculinité, fragilité et inaltérabilité de cet élément originel. Le focus est aussi mis sur les eaux-mères, où le temps n'est pas encore linéaire, où la lumière joue encore de ses ombres entre les parois utérines, où la vie est en pure relation amoureuse...