Je crois aux nuits / Pierre Liebaert
Lieu de l’oeuvre : rue de Nimy-Cour du 106 - 7000 Mons
Pierre Liebaert est un photographe belge actuellement basé à Bruxelles. Il est diplômé de l’École Supérieure des Arts de l’image « Le 75 » à Bruxelles. Il est régulièrement exposé lors de festivals ou au sein d'institutions muséales. Une de ses séries intitulée « Macquenoise » fût remarquée par le site américain Photo-eye comme l'un des 26 meilleurs ouvrages de l'année 2013. En 2015, à Mons, il participe à la mission photographique IN/OUT et photographie Patti Smith lors de sa visite de l'exposition Verlaine Cellule 252 au BAM. Très souvent immersif, ses projets sont souvent à long terme et le dévorent. Pour « Je crois aux Nuits », il explore des territoires où subsistent encore de fragiles traditions. Son intérêt se pose là où la tragédie se pare de lumière. Le chant fantasmé des castrats, l'œuvre incarnée du Caravage, l'intransigeance des Primitifs flamands, l'universalité des figures carnavalesques, le parfum humide du bois vermoulu, la solennité des processions et la vulnérabilité de nos organes sont autant de fragments qu'il ne cesse de vouloir rassembler.
Pierre Liebaert est un photographe belge actuellement basé à Bruxelles. Il est diplômé de l’École Supérieure des Arts de l’image « Le 75 » à Bruxelles. Il est régulièrement exposé lors de festivals ou au sein d'institutions muséales. Une de ses séries intitulée « Macquenoise » fût remarquée par le site américain Photo-eye comme l'un des 26 meilleurs ouvrages de l'année 2013. En 2015, à Mons, il participe à la mission photographique IN/OUT et photographie Patti Smith lors de sa visite de l'exposition Verlaine Cellule 252 au BAM. Très souvent immersif, ses projets sont souvent à long terme et le dévorent. Pour « Je crois aux Nuits », il explore des territoires où subsistent encore de fragiles traditions. Son intérêt se pose là où la tragédie se pare de lumière. Le chant fantasmé des castrats, l'œuvre incarnée du Caravage, l'intransigeance des Primitifs flamands, l'universalité des figures carnavalesques, le parfum humide du bois vermoulu, la solennité des processions et la vulnérabilité de nos organes sont autant de fragments qu'il ne cesse de vouloir rassembler.