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Église Saint-Pierre (paroissiale)
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Empruntez et suivez la rue de l'Abreuvoir
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La tour du colombier alias Le Pigeonnier
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Le pays des Leûs
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Empruntez le petit chemin sur votre droite
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Tournez à droite
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Tournez à droite sur la Chaussée Brunehault
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Tournez à gauche et suivez la Rue du Coron
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Tournez à gauche et empruntez le pont au dessus de la Petite Honnelles
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Empruntez sur votre droite la Ruelle Galant Homme
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La Petite Honnelle
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L'ancien moulin de Montignies-sur-Roc
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Tournez à gauche
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Église Notre-Dame
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Tournez à droite sur Rue de l'Eglise
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Chateau de Montignies-sur-Roc
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Ancienne ferme Jospein
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Tournez à gauche
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Place Fulgence Masson
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Un des plus beaux villages de Wallonie
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Empruntez la Rue comtesse de Belleville sur votre droite
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Tournez sur votre droite et traversez le pont
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Château-Ferme de Rampemont
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Tournez à droite et suivez l'Avenue des Hauts-Pays
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Serrez à droite
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Tournez à gauche
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Empruntez la Rue Tonin sur votre gauche
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Serrez à droite sur le Rue Grande
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2114. Que se cache-t-il dans cette mystérieuse malle ?
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Tournez à gauche
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Le confetti politique
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Tournez à droite et suivez le Rue Renaut Moulin
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Empruntez à droite la rue Ghislain Luciez
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Tournez à droite
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Maison du Parc naturel des Hauts-Pays
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La fiancée du Leû
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Église Saint-Pierre (paroissiale)
Entouré d'un cimetière dont le mur de clôture longe la place, édifice néogothique accessible par un chemin pavé, élevé en 1847 sur les bases d'un édifice du 16e siècle dont subsiste une tour gothique.
Elle présente trois niveaux de briques et moellons séparés par des cordons larmiers avec portail ogival encadré de pierre
calcaire bordé d'une archivolte et surmonté d'une baie de même esprit.
Nef et collatéraux de trois travées séparées de colonnes de calcaire sur haute base octogonale et choeur à chevet à trois pans.
Couverture de voûtes d'arêtes.
Nombreuses statuaires dont une statue de saint-Pierre en pierre blanche peinte du 15e siècle.
Fonts baptismaux du 16e siècle.
Source : Catherine Lemoine Bibliographie RPMSB, canton de Dour, p. 32-33.
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Empruntez et suivez la rue de l'Abreuvoir
Empruntez et suivez la rue de l'Abreuvoir
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La tour du colombier alias Le Pigeonnier
Marquant l'entrée de la localité, vestiges de la ferme du château disparu conservant dans une vaste propriété ceinturée d'un mur, une aile de dépendance perpendiculaire aménagée en habitation et une solide tour-colombier de la fin du 17e ou du début du 18e siècle.
Ancienne étable très transformée dont seule la face nord a conservé quelques éléments d'origine comme les portes trapues, dont une jumelée, à linteau surbaissé et jambages harpés ou les petites baies sous arc en brique.
Dans la perspective de l'entrée ouverte dans le mur de clôture, imposante tour carrée sur haut soubassement de moellons de grès rouges élevant trois niveaux d'inégale hauteur soulignés d'un cordon.
Côté est éclairé aux étages d'élégantes fenêtres à encadrement saillant en ardoises.
Porte sur la face nord avec linteau rehaussé d'un arc en accolade. Corbeaux de bois sous le toit en pavillon à coyau accusé sommé d'un petit bulbe à flèche.
Source : Catherine Lemoine. 07/09/1999
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Le pays des Leûs
Les Leûs d’Onnezies
On nomme les habitants d’Onnezies, les Onneziens et pourtant dans la région, tout le monde parle des Leûs d’Onnezies (les loups).
Selon certains, l’explication est la suivante : les habitants du village comptèrent, jadis, parmi eux, une famille de musiciens, les Leleux dont l’un des membres était un accordéoniste réputé qui égayait les fêtes villageoises environnantes.
Lorsque la famille arrivait pour une animation musicale, les gens s’écriaient : « Vlà les Leleux d’Onnezies », expression devenue au fil du temps : « Vlà les Leûs d’Onnezies ».
D’autres se l’expliquent du fait que les habitants étaient assez méfiants et renfermés. Les étrangers qui traversaient le village disaient : « Tu n’as vu personne et pourtant tout le monde t’a vu ».
Le rapport entre le loup, animal ombrageux, et la méfiance des habitants s’est rapidement fait et a donné naissance au sobriquet « Les Leûs d’Onnezies ».
La mosaïculture du Leû a été réalisée en juin 2012.
Depuis 2016, notre Leû a une compagne qui a élu domicile au centre du village au lieu-dit « Petit pont ».
De novembre à avril, notre Leû rejoint ses quartiers d’hiver et n’est pas visible.
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Empruntez le petit chemin sur votre droite
Empruntez le petit chemin sur votre droite
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Tournez à droite sur la Chaussée Brunehault
Tournez à droite sur la Chaussée Brunehault
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Tournez à gauche et suivez la Rue du Coron
Tournez à gauche et suivez la Rue du Coron
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Tournez à gauche et empruntez le pont au dessus de la Petite Honnelles
Tournez à gauche et empruntez le pont au dessus de la Petite Honnelles
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Empruntez sur votre droite la Ruelle Galant Homme
Empruntez sur votre droite la Ruelle Galant Homme
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La Petite Honnelle
La Petite Honnelle possède le même caractère que sa grande soeur. Née en France, dans la Petite Suisse qui part de Bavay, elle vient par Bellignies, Gussignies, Erquennes, Athis.
Elle longe les remparts de " Rampemont " vers Montignes-sur-Roc, Audregnies et Baisieux où elle coule en parallèle avec la Grande Honnelle qu'elle rejoint quelques centaines de mètres plus loin.
Source : users.skynet.be/cbou/roisin/honnelle.htm
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L'ancien moulin de Montignies-sur-Roc
Historique de l'ancien moulin :
Le 21 juin 1758, Adrien Glineur reçoit un octroi pour la construction d’un moulin à eau pour tordre l’huile de colza au village de Montignies-Notre-dame-sur–Roc (nom du village à l'époque), à l’endroit dénommé la « pâture d’en bas ».
En 1789, le moulin devient la propriété de Charles-Louis Ghislain de Waziers Wavrin.
De 1800 à 1859, par le jeu des alliances, le moulin devient la propriété de la famille La Motte Baraffe.
En 1823, le tordoir est transformé en moulin à grain. Le débit de la rivière devenant insuffisant, le cours de celui-ci est détourné. (l’ancien lit étant la rue de La Fontaine actuelle).
Deux digues en terre de 150 mètres de long sont édifiées afin de créer un bassin artificiel assurant une chute d’eau d’environ 7 m de haut. Après les graves inondations de 1898, on construit une 3e vanne et une digue de pierre sur la rive droite.
Le 2 septembre 1859, Jean-Baptiste Gilmant, meunier à Pâturages, achète le moulin.
Le 25 mars 1863, il le cède à son fils pour 15 000 francs belges qui s’y installe avec sa femme Ophélie Pluvinage.
Ils auront 5 enfants : Augusta, Zima, Usta, Olga et Blanche. Ils resteront célibataires sauf Zima qui épouse Victor Demarbaix.
Depuis 1859 à nos jours (149 ans) le moulin est resté dans la même famille.
En effet, Usta reprend le moulin en 1884 à la mort de son père aidé de ses deux sœurs Olga et Blanche.
Pendant ce temps, Zima Gilmant et Victor Demarbaix s’installent finalement à Lobbes. Ils auront deux fils Hector et Jean.
Jean reprendra l’imprimerie familiale à Lobbes. Quant à Hector, en 1930, il débarque à Montignies à la suite de la mauvaise santé d'Usta. Il s'initie au métier de meunier et adopte son nouveau village.
En 1935, Hector rencontre Jeanne Lecerf d’Onnezies et il l’épousa en 1937. Hélas, le bonheur est de courte durée car la guerre est déclarée et Hector est mobilisé en 1938. Il fut prisonnier en Prusse Orientale pendant 5 ans. Pourtant, pendant ce temps le moulin continua de fonctionner grâce à Jeanne et Usta aidé de Jean-Baptiste Delcroix. Hector reviendra au mois d’août 1945 et ils auront une fille Jenny qui naitra en 1947.
En 1971, le moulin cesse toute activité et il ferme ses portes définitivement.
En 1972, Jenny épouse Daniel Martin et Ils auront une fille Shirley.
Hélas, Hector ne profitera pas longtemps de sa retraite. Sa santé se dégrade et il meurt en 1981 à l’âge de 69 ans. Mais Jeanne n’abandonne pas le moulin et essaye de le sauvegarder de l’emprise du temps. Elle y restera jusqu’à la fin de sa vie. À sa mort en décembre 1999, ce sont sa fille et sa petite fille Shirley qui reprennent le flambeau familial. Depuis lors et avec l’aide de son époux Hugues Rabijns, Shirley et lui essayent de redonner vie à leur cher moulin en rouvrant les portes de celui-ci lors de certaines occasions.
Source :
www.molenechos.org
Jules Dewert et Gérard Bavay
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Église Notre-Dame
Cette église est nichée dans l'enclos emmuré et arboré de l'ancien cimetière.
Celui-ci est flanqué, de part et d'autre de l'entrée, par deux bornes gravées remontant au 16ème siècle.
Le petit sanctuaire de style classique a été édifié au 18ème siècle.
La nef, les collatéraux, éclairés par de hautes fenêtres de style tournaisien, ainsi que le coeur à pans coupés, présentent un intérieur d'une belle homogénéité.
Au bas de la nef, à droite se trouvent trois épitaphes des curés de Montignies-sur-Roc et Audregnies.
Le monument le plus intéressant que renferme l’église de Montignies-sur-Roc est celui qui fut élevé à la mémoire de Louis Wazier-Wavrin, seigneur de Montignies, avant la Révolution française.
C’est une belle pierre en marbre noir, surmontée des armoiries en marbre blanc des familles de Wazier et de Rodoan.
De chaque côté du cœur, se trouvent, appendus, les obits des familles de Wazier-Wavrin, des marquis et comtesses de Belleville et de la famille de la Motte Baraffe.
Le vieux cimetière entourait l’église, il fut désaffecté en 1881 et aménagé en site religieux, la grotte Notre-Dame de Lourdes (1947) et la grande Croix de béton (1949), sont venues compléter ce lieu de recueillement.
Comme la plupart des édifices religieux de notre région, elle a subi des destructions et de nombreuses restaurations.
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Tournez à droite sur Rue de l'Eglise
Tournez à droite sur Rue de l'Eglise
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Chateau de Montignies-sur-Roc
À l’emplacement du château, s’élevait au XVIème siècle une demeure féodale.
À la fin du XVIIème siècle, il fut reconstruit en type tournaisien, c’est-à-dire qu’il s’étendait sur un plan en « L » et ne faisait qu’un avec les dépendances.
C’est sur cette base que Virginie de Chastel de la Howarderie lui donna, entre 1822 et 1847, son aspect actuel.
Ce château est situé dans un vaste parc aux magnifiques frondaisons.
Au-delà du courant d'eau développé en étang, le parc remarquablement arboré s'organise en plusieurs zones, potager, verger, parterres, charmille et quinconces ouvrant des perspectives multiples sur le château. Une glacière actuellement aménagée en grotte complète l'ensemble.
Le château est la propriété du Baron de la Motte Baraffe et ne se visite pas.
Source :
Thérèse Van Den Noortgaete
07/09/1999
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Ancienne ferme Jospein
Bordée d'un trottoir en pavés de Montignies couvrant également la cour, ferme clôturée de tradition classique datée de 1686 au portail d'entrée et par de 1723 un écu à la porte du logis.
Ensemble de type tournaisien dominé par le remarquable bâtiment d'entrée formant en front à rue un double corps de deux niveaux percé d'un portail central surbaissé sur des jambages harpés rehaussé d'une menuiserie à doubles vantaux. Toiture à croupes ponctuées de deux lucarnes à montants de bois sculptés.
Logis bas perpendiculaire en moellons, entièrement chaulé, ultérieurement rehaussé de briques et modifié dans les travées d'annexe.
Porte à linteau tronconique, montants harpés et traverse.
Dépendances postérieures ouvertes dans l'axe du porche d'une porte charretière et dont la partie gauche est partiellement démolie.
Catherine Lemoine.
07/09/1999
Infos techniq
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Place Fulgence Masson
Arborée de tilleuls et de platanes remarquables, cette vaste place triangulaire et engazonnée adopte le dénivelé du terrain et offre, au travers des axes donnés par les rangs d'arbres, de multiples points de vue.
Aboutissement et pivot des circulations principales de la localité, elle est entourée d'habitations au gabarit homogène, appartenant au 18ème siècle dans sa partie haute, et plus récentes sur ses autres flancs, dont l'un est occupé par l'école.
Sources :
Thérèse VAN DEN NOORTGAETE.
07/09/1999
Le style tournaisien
L’habitat du Haut-Pays est essentiellement à caractère rural avec la présence de nombreux bâtiments anciens de «style tournaisien» (essentiellement du XVIIIe siècle) caractérisé par l’alternance de pierres appareillées et de rangées de briques sur le pourtour des baies.
Mais qui était Fulgence Masson ?
Avocat pendant plus de 60 ans, grande personnalité du Barreau de Mons (trois fois bâtonniers et Président d’Honneur des avocats belges), Echevin à Mons durant plus de trente ans, Ministre de la Guerre (pendant deux ans) puis de la Justice (1921-1925), le roi l’élève à la dignité de Ministre d’Etat en 1925, année durant laquelle il s’installe dans sa ferme montagnarde aménagée en résidence de campagne.
Amoureux de la nature et des arbres, il est l’auteur de nombreuses plantations à Onnezies et Montignies (notamment sur la place qui porte maintenant son nom).
Source : Royal Syndicat d'Initiative du Haut-Pays
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Un des plus beaux villages de Wallonie
Montignies-sur-Roc
Le village doit son nom à sa situation sur un rocher, dominé par l’église.
Il s’étend sur les deux rives de la rivière « La Petite Honnelle » et est traversé sur sa hauteur par la chaussée romaine (chaussée Brunehault) joignant Bavay à la Flandre.
Véritable cœur du village, appréciée de tous les Montagnards, la place Fulgence Masson (1854-1942, Ministre de1918-1925) est un espace remarquable tant par sa configuration que son beau pourtour arboré et l’élégance de ses nombreuses bâtisses anciennes, de style ou d’esprit classique et plus spécifiquement inspiré du courant tournaisien.
Les différentes habitations qui entourent la place datent du XVIIème, XVIIIème et milieu du XIXème.
Parmi celles-ci, le château de la Motte Baraffe (entrée par la rue de l’Église) ouvre ses portes à certaines périodes de l’année.
Cette imposante demeure, reconstruite en style classique à l’emplacement d’un château féodal entouré de douves, s’ouvre sur un beau parc aux magnifiques frondaisons.
Le type tournaisien naquit sur les ruines laissées par les bombardements et la prise des villes par les troupes de Louis XIV (on y alterne pierres bleues taillées avec des rangées de briques. Cette disposition est appelée chaînage alterné).
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Empruntez la Rue comtesse de Belleville sur votre droite
Empruntez la Rue comtesse de Belleville sur votre droite
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Tournez sur votre droite et traversez le pont
Tournez sur votre droite et traversez le pont
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Château-Ferme de Rampemont
Isolé du village de Fayt-le-Franc, le château-ferme de Rampemont émerge de la campagne environnante.
Aujourd'hui destiné à un usage agricole, ce vaste quadrilatère conserve plusieurs vestiges de l'ancienne demeure fortifiée, siège de la seigneurie de Rampemont.
Si beaucoup de seigneurs se succèdent à Rampemont, plusieurs partagent un goût certain pour la politique. Leur présence à Mons et dans les instances du Hainaut est attestée au cours des siècles. Ils joueront ainsi un rôle important dans l'histoire du comté.
Le château-ferme regroupe, autour d'une cour carrée, un portail d'entrée flanqué de deux tours carrées et d'annexes basses, deux logis, l'un remanié au 20ème siècle et l'autre plus ancien, une remise à voitures de 1619, une vaste grange, des étables et des dépendances.
Source : Wallonie Belgique Tourisme
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Tournez à droite et suivez l'Avenue des Hauts-Pays
Tournez à droite et suivez l'Avenue des Hauts-Pays
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Empruntez la Rue Tonin sur votre gauche
Empruntez la Rue Tonin sur votre gauche
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Serrez à droite sur le Rue Grande
Serrez à droite sur le Rue Grande
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2114. Que se cache-t-il dans cette mystérieuse malle ?
Le 07 septembre 2014, des centaines de Honnelloises et Honnellois participaient activement à « La malle du siècle ».
Le but était de déposer, dans une malle hermétique, des objets divers et des documents qui seront récupérés à l’ouverture programmée le 07 septembre 2114, soit 100 ans plus tard.
Sportifs, agriculteurs, médecins, pharmaciens, simples citoyens, jeunes mariés, bistrotiers, restaurateurs, numismates, politiciens, écoliers, retraités ont déposé dans la malle des photos de famille, des arbres généalogiques, en passant par le détail des tournées des facteurs ou encore le menu de nos restaurants.
Une famille honnelloise sur quatre a laissé une trace aux générations futures.
Imaginez un instant la joie, la surprise ou l’émotion de nos arrières-arrière-arrière-petits-enfants quand ils assisteront en 2114 à l’ouverture de la malle au contenu mystérieux et découvriront alors la vie en 2014 et peut-être pourront-ils lire des messages écrits par leurs ancêtres 100 ans plus tôt.
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Le confetti politique
En 2010, les Belges se rendent aux urnes.
Faute d’accord entre les partis, la Belgique s’installe dans une crise institutionnelle, sans précédent, et est au bord de l’explosion.
Les hommes politiques de tous bords se succèdent à son chevet pour sortir de la guerre de position opposant Wallons du sud et Flamands du nord.
Honnelles, confetti sur l’échiquier politique belge, marque son attachement à l’unité nationale, malmenée durant des mois, en inaugurant, le 9 juin 2010, à cet endroit un buste en pierre du poète Émile Verhaeren.
Un événement suivi par près de 500 Honnelloises et Honnellois.
En effet, quel meilleur symbole d’une Belgique unie que celui d’un poète né en Flandre, venu un peu par hasard dans notre région (au Caillou-qui-Bique de 1899 à 1914) et qui deviendra le plus grand poète belge de langue française du XIXème siècle et XXème siècle.
Après 541 jours d’âpres négociations, le Montois francophone,Élio Di Rupo prête serment en tant que nouveau Premier ministre.
Cette période constitue, à ce jour, la plus longue crise politique de l’histoire contemporaine européenne.
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Tournez à droite et suivez le Rue Renaut Moulin
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Empruntez à droite la rue Ghislain Luciez
Empruntez à droite la rue Ghislain Luciez
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Maison du Parc naturel des Hauts-Pays
La maison du Parc naturel se veut une porte d’entrée sur le Parc.
En effet, toute l’année, l’équipe du Parc vous y accueille afin de vous renseigner sur ses projets et activités.
Vous pourrez y trouver toutes nos brochures ainsi que nos cartes de promenades. Bien sûr, nous sommes également à votre écoute et nous nous ferons un plaisir de répondre à vos questions.
Outre sa vocation d’accueil du public, la maison du Parc abrite également l’organe de gestion du Parc naturel des Hauts-Pays. Direction et équipe technique y ont leurs bureaux et des réunions s’y déroulent régulièrement.
Situé à l’arrière de la maison du Parc naturel, notre jardin au naturel permet d’illustrer différentes actions faciles à mettre en place chez soi au bénéfice de notre environnement et de la biodiversité.
On y retrouve un potager, des plantes mellifères, des nichoirs à insectes, à oiseaux, à chauve-souris ainsi qu’une mare.
De multiples panneaux didactiques donnent de précieux conseils.
Ce jardin constitue un outil didactique privilégié pour les animations à destination des enfants mais il est également ouvert au grand public durant les heures d’ouverture de nos bureaux.
Notre équipe se fera un plaisir de faire la visite.
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La fiancée du Leû
À l’annonce de l’arrivée d’une jolie compagne pour notre Leû d’Onnezies, l’administration communale ne pouvait rester insensible à cette idylle naissante et se devait de souhaiter la bienvenue à cette jolie louve.
Lors de l’inauguration le 21 juin 2016, il a cependant, fallu composer avec la défection de M. Seguin et du Petit chaperon rouge, les exigences démesurées des trois petits cochons dont la venue était conditionnée par la construction de 3 tonnelles : en paille, en bois et en briques, pour se protéger éventuellement des intempéries, disaient-ils. Le loup-garou, quant à lui, voulait changer la date des festivités, une question de lune avait-il expliqué.
D’autres invoquaient un emploi du temps surchargé : Kevin Costner, Jean de La Fontaine, Prokofiev, Mowgli, Philippe Lafontaine, Romulus et Rémus.
Malgré ces absences, les habitants d’Onnezies (les Leux) ont fêté la mise en place de la fiancée, œuvre de l’artisan résinois, Gianni Cucca, qui trône au pied d’un chêne presque centenaire.
Son compagnon, lui, réside à la sortie du village en direction de Montignies-sur-Roc.