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Le Surréalisme : bouleverser le réel - Visite guidée sensible

Un portrait d’après nature ou l’histoire telle qu’on la crée ou l’Histoire telle qu’on la performe Naviguant entre performance et expérience sensible, Amélie van Liefferinge, emmène le public dans un parcours choisi à travers l’exposition. Le parcours, à la manière d'un « objet bouleversant vivant », utilise le mannequin vivant comme métaphore du visiteur de musée et nous invite à nous interroger sur les liens qui se tissent entre les corps et les œuvres. Cette approche sensible soulève également des questions plus larges sur la représentation des corps, le regard, masculin ou féminin, posé sur les corps ou encore, comment corps et gestes racontent différemment une même histoire.

#Fakeimages. Démasquez les dangers des stéréotypes

Chaque jour, une multitude de messages et d’images nous parviennent à travers divers canaux tels que les médias sociaux, la télévision et la presse écrite. Des fake news, images mensongères et messages de propagande, polluent notre flux d’information, souvent de manière innocente, mais aussi parfois avec des intentions plus insidieuses. Quels sont les mécanismes qui facilitent la transmission de ces messages, et pourquoi sommes-nous si susceptibles de les recevoir? Ces images stéréotypées, ces théories du complot ou encore ces fake news sont parfois utilisées à l’encontre de communautés particulières. Pendant la Deuxième Guerre mondiale, la propagande antisémite a ainsi conduit à un génocide sans précédent, celui du peuple juif. Basée sur la collection d’images antisémites d’Arthur Langerman, survivant belge de la Shoah, cette exposition entend relier passé et présent. Son objectif est de décoder et expliquer les mécanismes de propagande et des fausses images incitant les visiteurs à remettre en question les stéréotypes encore présents aujourd’hui. #Fakeimages, exposition créée par Kazerne Dossin à Malines, encourage à déconstruire ces fausses représentations et à apprendre à réagir face aux fake news et aux discours de haine. Engagé depuis plusieurs années dans la sensibilisation des jeunes aux théories du complot, aux fake news et à la vérification des sources d’information, le Mundaneum poursuit l’œuvre de ses fondateurs Paul Otlet, Henri La Fontaine et Léonie La Fontaine, de documenter le monde et de partager les connaissances dans un but de compréhension universelle. Véritable laboratoire de paix par la connaissance, l’accueil de cette exposition par le Mundaneum se fait donc dans la continuité de son histoire et la pérennisation de ses valeurs universelles, pacifistes et humanistes.

Alice au pays des merveilleux

Connaissez-vous le pays des merveilleux ? Non? Alors, laissez vous emmener par MUND au cœur d’un voyage là où le désir laisse la place à une histoire d’amour à l’eau de vie qui ne vous laissera certainement pas de glace dans l’attente de l’Alice poire de jours meilleurs. “ Découvrez les illustrations qui composent son 1er livre L’amour des mots a toujours été omniprésent aussi bien dans sa vie que dans son parcours artistique. L’écriture dans sa forme littéraire apparaît ici comme un nouveau chapitre pour Mund. Projet unique ou pas, l’avenir le lui dira. Tout a commencé il y a dix ans par une rencontre avec l’éditeur Eric Lamiroy via le milieu artistique bruxellois dans lequel il évoluait et ce dernier décela assez rapidement son amour des mots et lui proposa d’y associer le côté visuel pour une exposition dans sa libraire / galerie. De là, découla l’idée d’une nouvelle illustrée. Et dix ans plus tard, naquit officiellement, Alice au pays des merveilleux !Retrouvez également une sélection de ces oeuvres exposées au Centre Athéna dans le cadre de Dour Se Livre les 09-10 novembre 2024. Lieu: Galerie d’expositions/ hall de l’hôtel de Ville / Grand place à 7370 Dour (BE) Horaire d’ouverture de l’hôtel de ville de Dour Entrée libre

Prix européen des arts appliqués 2024

Le Prix européen des arts appliqués récompense des créations d'expression contemporaine dans le domaine des arts appliqués et du design artisanal faisant preuve de qualités artistiques, de maîtrise technique et d'innovation.

Restaurer les choses - BENTO x Corentin Mahieu

Installée dans les vestiges d’une exposition dédiée à Rodin, cette œuvre explore les dualismes entre nature et culture, sujet et objet, laissant les artefacts évoluer entre l’intervention humaine et celle des organismes vivants. Présentation des artistes : BENTO Architecture Bento est une association d’architectes qui met l’expérimentation de la matière au centre de ses réflexions. La matière vivante interroge la soutenabilité de nos modes de production actuels et leur impact sur nos modes de vie. Partant de ce constat et/ou de cette obligation, les architectes de Bento mettent un point d’orgue à l’exalter, la dépasser, pour faire le pont entre architecture, art et design. En effet, les architectes font des aller-retours entre des phases d’expérimentation avec la matière vivante et des phases de conception, les deux se nourrissant l’un l’autre, l’une interrogeant le réel, l’autre le concrétisant. Cela permet désormais à Bento, avec comme question centrale le changement d’échelle - de proposer tant des éléments de mobilier, des installations artistiques ou scénographiques, que des projets d’architecture, interrogeant d’autres modes d’habiter. Bento a été lauréat du prix Europan 16 et, avec Vinciane Despret, commissaire du pavillon belge à la 18e Biennale d'architecture de Venise, construit en ressources issues du territoire bruxellois, pisé provenant de chantiers d’excavation bruxellois (terre crue), bois massif issu de la forêt de Soignes et panneaux de mycélium qui ont poussé dans les caves de Tour & Taxis. Le bureau travaille actuellement sur des projets publics et privés, articulant volontés d’expérimentations concrètes, et de décarbonation. Corentin Mahieu (CoMa), designer et scénographe Son approche est simple : explorer, expérimenter, et laisser les matériaux raconter leur propre histoire. Son travail explore la cohabitation entre l’organique et le mécanique, où ces deux dimensions se nourrissent mutuellement sans se concurrencer, là où le mouvement, pourtant figé, semble toujours sur le point de reprendre vie. Chaque projet est une invitation à observer les tensions discrètes, les contrastes subtils, comme si l’on capturait un instant suspendu dans le temps. Ses collaborations régulières avec Bento l’ont permis de participer à des projets divers, comme la scénographie du pavillon belge à la Biennale d’Architecture 2023. Ce type de réalisation permet de créer un pont entre design, art et scénographie, tout en répondant à des enjeux contemporains de durabilité et d’innovation à travers des choix conscients. En 2024, la table Accalmie, présentée à la Collectible Fair Design à Bruxelles, est le fruit d’une réflexion sur l’équilibre subtil entre stabilité et mouvement, force et légèreté. En partenariat avec Sonian Wood Coop et Bento, ce projet incarne une démarche circulaire, où chaque matériau raconte une histoire, où l’objet devient un témoin silencieux de ce fragile moment d’équilibre.

Le surréalisme : bouleverser le réel

À l’occasion du centenaire du surréalisme, le CAP/musée des Beaux-Arts de Mons dédie sa nouvelle exposition à ce mouvement artistique, sous un angle totalement inédit : celui de l’objet bouleversant et de son impact sur la société. Présentée de façon à la fois chronologique et thématique, l’exposition « Le surréalisme : bouleverser le réel » retrace l’histoire de l’objet (tridimensionnel, mais aussi dans la poésie, la peinture, la photo, le collage et le film) au sein du surréalisme des années 1920 et 1930. Elle confronte ensuite l’objet surréaliste aux nouveaux mouvements qui mettent l’objet au centre de la scène artistique à partir des années 1960. Profondément actuelle, cette exposition novatrice propose une réflexion sur le côté subversif, essence même du surréalisme, et sur la façon de le montrer aujourd’hui. Elle met en évidence le rapport de l’objet à l’art et à la commercialisation. Le lien entre l’objet et le corps ainsi que la place des femmes sont également interrogés. À travers un vaste panorama constitué de peintures, d’écrits, de photographies et d’objets de plus de 30 figures emblématiques du mouvement et de l’art belge telles que Paul Nougé, René Magritte, Jane Graverol, Rachel Baes ou encore Marcel Mariën, l’exposition montre le surréalisme en Belgique comme il ne l’a jamais été. Cet événement s’ancre parfaitement dans le projet du CAP (Culture - Art - Patrimoine) qui questionne les rapports à la société et la place de l’art dans l’espace urbain.

Autofiction. Une biographie de l'objet automobile

L’automobile est un objet hors norme, imposant au monde son infrastructure délirante, qui modèle aussi bien le paysage et l’atmosphère que nos imaginaires : on la retrouve dans l’angle mort de notre quotidien. Plus de 1,2 milliard d’automobiles circulent aujourd’hui sur la Terre. Présentée en 2022 à la Cité du design à l’occasion de la 12e Biennale Internationale Design Saint-Étienne, l’exposition Autofiction a été adaptée aux dernières évolutions de la question de l’objet automobile pour sa présentation au CID. L’automobile n’est pas qu’un assemblage de milliers de pièces : en s’automatisant, elle est de plus en plus un objet numérique qui dévore des données, enregistre et décrit notre environnement. Son appétit se prolonge avec les ressources minérales et fossiles mobilisées pour sa fabrication, ressources naturelles qui supportent de plus en plus difficilement son développement. Autofiction présente une biographie subjective, embarrassante et souvent taboue, de cet objet qui participe plus que jamais de la fabrication d’environnements artificiels, systémiques, massifs, englobants. Autofiction témoigne alors des controverses en cours chez les designers et créateurs à travers trois axes biographiques complémentaires. Une première partie est consacrée à l’automobile comme un smart electronic device (appareil électronique intelligent) à quatre roues. Objet numérique, automatisé, captant, la voiture produit une description de nos environnements et de nous-mêmes qui renforce sa qualité d’objet connecté, d’objet système, à l’instar des projets des années 1970 du groupe Ant Farm, dont le Mediavan captait des enregistrements des espaces traversés et des individus rencontrés, pour les restituer ensuite à l’intérieur-même du van sur des campus universitaires de Californie. Plus récemment, à travers le regard questionnant des films d’Olivier Bosson et de Nicolas Gourault concernant les déboires du véhicule autonome, est pointée la fragilité de l’automatisation des systèmes. Tandis que le véhicule-dispositif de Benedikt Gross et Joey Lee nous permet de “voir comme une IA”, pour appréhender la technologie de l’intérieur, les robots de Degoutin & Wagon nous renvoient à notre condition d’animaux mobiles. La deuxième partie met en scène une brève biographie fossile de l’automobile pour s’ouvrir ensuite sur celle plus vaste des stratégies énergétiques aujourd’hui. L’électrique n’est pas la seule option pour l’industrie : la réduction des tailles et des consommations comme la Microlino électrique, l’allègement des véhicules comme La Bagnole de Kilow, le métabolisme comme énergie disponible pour la voiture à pédale et assistance électrique de Midipile, ou le retrofit, jouant avec le patrimoine automobile comme la R5 Diamant de Pierre Gonalons pour Renault : les scénarios sont multiples. Alors que l’artiste belge Eric Van Hove convoque les savoir-faire d’artisans marocains pour rappeler que la production automobile vient de l'artisanat et pourrait y retourner. La dernière partie ouvre sur de nouvelles pistes narratives pour l’automobile. Ces histoires proviennent d’artistes et de designers, venant de Wolfsburg en Allemagne, après la crise du diesel gate ; de Lubumbashi en République Démocratique du Congo où l’industrie des métaux rares pour les véhicules électriques provoque des ravages sur les populations ; de Cuba où la désobéissance technologique permet une survie fragile ou de France, où des céramistes investissent le passé de l’automobile comme une nouvelle ressource. En révélant ces nouveaux imaginaires techniques provenant de pratiques amateurs, nous invitons un public très large à découvrir ce que pourrait être une démocratie technique, renouant ainsi avec la notion d’automobile comme objet populaire. Dates : du 6 octobre 2024 au 16 février 2025 Lieu : salle les Écuries du CID au Grand Hornu Commissaire: Olivier Peyricot

Exposition : Explorer l'Invisible - 3e édition

Explorer l'Invisible : une plongée étonnante dans les photographies scientifiques au MUMONS Accrochez-vous car l’exposition de photographies scientifiques, “Explorer l’Invisible”, débarque au MUMONS pour une 3e édition et on projette de vous en mettre plein les mirettes. Préparez-vous à être captivés par les photographies qui se dévoileront sous vos yeux, vous transportant dans des mondes surprenants, et pourtant bien réels ! Le principe est simple : on a sollicité les chercheurs de l’UMONS pour qu’ils nous envoient leurs plus belles images ; un reflet du monde tel qu’ils l’explorent, dans ses moindres détails, et à toutes les échelles. Entre recherche scientifique et art contemporain, vous serez scotchés de découvrir ce qui habituellement ne peut être vu, car trop petit ou trop loin, parce que caché ou bien trop abstrait. Vos yeux seront assurément ébahis par ces univers révélés, qui défient toute perception ordinaire. Une expo photo où l’invisible devient visible ! Prêts pour l’aventure ? Attachez votre ceinture pour plonger dans le microcosme étonnant de l’infiniment petit, à la rencontre de minuscules créatures qui mènent une vie insoupçonnée, loin des regards indiscrets mais qui, grâce à la magie de la technique et à la patience des chercheurs, se dévoileront aussi grandioses que l’immensité d’une cathédrale ! Vous pénétrerez même dans l’intimité de la matière, en sondant les profondeurs inexplorées des matériaux. Le souffle repris, décollez maintenant vers l’infiniment grand et les profondeurs du Cosmos, à la rencontre de nébuleuses et de galaxies qui semblent errer dans un ballet cosmique infini. Une symphonie visuelle qui vous laissera sans voix ! La très grande majorité de ces photos sont directement issues des travaux de recherche menés par les chercheurs et chercheuses de l’Université de Mons. Au cours de leurs explorations du monde, ils ont pu capturer des instants féériques où l’art se mêle au réel. Ils ont voulu partager avec vous ces clichés qui ont tant de choses à nous dire sur la beauté cachée du monde, leur quotidien passionnant, leur engagement dans la société, les petites et grandes questions de notre temps. Laissez vos sens s’émerveiller ! En découvrant ces œuvres d’art éphémères créées par la nature elle-même, vous serez témoins de l’extraordinaire pouvoir des technologies de pointe utilisées en recherche contemporaine et qui permettent de repousser les limites de notre champ de vision. Vous découvrirez, entre autres, les mystères cachés du biomimétisme, révélant les secrets les mieux gardés de Mère Nature, et jouerez à une partie de “Où est Charlie” avec des crevettes et autres bestioles abyssales, véritables expertes du camouflage. Venez vivre une expérience sensorielle hors du commun, entre science et art, où la frontière entre le visible et l’invisible s’estompe pour vous offrir des moments d’émerveillement et d’enchantement. L'exposition est accessible jusqu'au dimanche 13 avril 2025 inclus, de 14h à 17h. Infos et tickets : https://mumons.be/museum/activites/explorer-linvisible-3e-edition/ Le MUMONS est ouvert tous les jours de 10h à 17h, et le dimanche et jours fériés de 14h à 17h. Les mardis et samedis, le musée est fermé, ainsi que durant les vacances d’hiver et lors du dimanche du Doudou. La dernière admission se fait 1h avant la fermeture. L'évacuation des salles commence 30 min avant la fermeture.

Les Anges de Mons. Croyances et apparitions en 14-18

Dans le cadre des commémorations des 110 ans de la bataille de Mons de 1914, le Mons Memorial Museum revient sur l’un des événements surnaturels les plus spectaculaires de la Première Guerre mondiale : l’apparition des Anges de Mons. La légende des Anges de Mons, inspirée d’un récit de l’écrivain Arthur Machen, est adoptée par une société britannique qui a cruellement besoin de sens et d’espoir en ces premiers mois du conflit de la Grande guerre. Selon les versions, la figure de Saint-Georges serait apparue accompagnée d’archers célestes ou d’anges vêtus de blanc. 110 ans après la bataille du 23 août 1914, cette exposition tente de comprendre la popularité de cette histoire en interrogeant le phénomène des miracles et apparitions survenus durant la guerre. Elle aborde la thématique de la religiosité et du besoin de croire en période de guerre et décode les liens entre culture et propagande. Pourquoi les anges ? Pourquoi, dans le contexte exceptionnel de la guerre, a-t-on eu besoin de croire ? Et aujourd’hui, à quoi voulons-nous croire ? Autour de l’exposition : Week-end d'ouverture gratuit les 06 & 07.07 Dimanches gratuits Chaque premier dimanche du mois, visitez l’exposition gratuitement. Visites guidées pour individuels les 28.07, 22.09 et 24.11 à 14h30 Événements et activités autour du 23 août pour les 110 ans de la Bataille de Mons Informations pratiques : Mons Memorial Museum - 51 Boulevard Dolez, 7000 Mons www.monsmemorialmuseum.mons.be Du mardi au dimanche de 10h à 18h 9€ plein/6€ réduit, compris dans le ticket d’entrée au Mons Memorial Museum. Visites en groupe : Visites libres pour groupes Réservation du lundi au vendredi de 9h30 à 17h30 au 065/40.53.46 ou par mail à groupes@ville.mons.be Visites guidées pour groupes Durée: 1h/50€ en semaine et le samedi/65€ le dimanche et jours fériés Réservation au 065/40.53.46 ou par mail à groupes@ville.mons.be Visites scolaires avec le service éducatif Sur réservation préalable au Dynamusée: 065/40.53.38 Visite de l’exposition + atelier créatif: matinée ou journée/5€ par enfant

COSMOS : votre rendez-vous avec l’Univers

Combien d’étoiles compte la Voie lactée ? Que savons-nous des trous noirs ? Pourquoi les planètes tournent-elles autour du Soleil ? Comment fonctionne un télescope ? À seulement 100 km au-dessus de nos têtes, plus proche que Liège ou Gand, l’espace ne cesse de nous émerveiller ! Cet automne, préparez-vous pour un fabuleux voyage au cœur de l’Univers. Explorez le domaine des étoiles, planètes et galaxies ; percez les mystères de notre Système solaire, créez votre propre univers, écoutez le son des trous noirs et bien plus encore ! Un effet Waouh spatial garanti à travers des expériences 100% interactives , des installations monumentales, des instruments astronomiques surprenants et des reportages vidéos (presque) en direct de l’espace ! Une exposition interactive inspirée par les questions des visiteurs du SPARKOH! 3 zones d’exploration spatiale Tester la gravité sur différentes planètes, se voir englouti par un trou noir, créer son propre Univers : ce ne sont que quelques-unes des expériences qui vous attendent au sein de l’expo COSMOS. Conçue pour émerveiller tout en démystifiant les bases et grandes théories de l’Univers, cette exposition interactive est une invitation à explorer l’espace à travers trois zones fascinantes. Explorez le Système solaire Notre quartier cosmique Dans cette 1ère zone, prenez part à un voyage au cœur de notre Système solaire. Partez à la rencontre des planètes et autres objets célestes qui entourent notre Soleil, découvrez leur principe de rotation, leur composition et ce qui les rend uniques, à travers des installations dynamiques et ludiques. Voyagez à travers les galaxies Et découvrez tout ce qui s’y trouve ! Dans cette deuxième zone, poussez l’exploration encore plus loin et perdez-vous dans l’immensité des galaxies . Laissez-vous emporter par la beauté des étoiles, découvrez leur cycle de vie, leur composition, mais aussi comment elles se forment et s’agencent en impressionnantes galaxies. Dans cette partie, explorez aussi les exoplanètes et les trous noirs ! Défis : écouter le chant d’un trou noir, tester une lentille gravitationnelle, créer et classer des galaxies… Défis : ressentir la gravité de chaque planète les unes par rapport aux autres, envoyer sa fusée dans l’espace en calculant sa trajectoire, dompter le vide spatial, utiliser un télescope… Plongez au-delà… Vers l’inconnu et l’immensité de l’Univers Dans cette dernière zone, direction les confins de l’Univers . Quelle est son origine, comment a-t-il évolué et quelles sont ses fins possibles ? L’exploration spatiale apporte de précieuses réponses, mais soulève aussi de nouvelles questions, alimentant ainsi notre curiosité et renforçant notre désir d’exploration cosmique ! De nombreuses questions ouvertes sur un champ des possibles à aborder avec curiosité et émerveillement ! Défis : découvrir la cosmochimie, simuler l’expansion de l’Univers, créer son Univers…

Vernissage - Exposition Daniel Turner / Compresseur

L’équipe du MACS a le plaisir de vous inviter à l’inauguration de l’exposition consacrée à l’artiste Daniel Turner.

Daniel Turner, né en 1983 et installé à New York, a consacré les dix dernières années de sa carrière à la récupération et réappropriation d’infrastructures diverses. Il prélève sur des sites spécifiques des matériaux, des équipements et des résidus laissés par les personnes qui les ont occupés, qu’il transforme pour invoquer « l’esprit du lieu ». Pour sa première exposition muséale en Belgique, Daniel Turner s’est intéressé à un site particulièrement symbolique : l’ancienne prison de la commune bruxelloise de Forest.

Le samedi 14 décembre 2024 :
17h : vernissage pour les enfants, sur réservation
18h : inauguration
(Présence des guides dans l’exposition jusqu'à 20h30)

Gratuit
Infos : +32 (0)65 613 902 / reservations@grand-hornu.be

Vernissage des enfants - Exposition Daniel Turner / Compresseur

L’équipe du MACS a le plaisir d'inviter les enfants à l’inauguration de l'exposition consacrée à l'artiste Daniel Turner

À cette occasion, une visite guidée ponctuée d'activités dans les salles du musée leur est dédiée, suivie d'un petit drink.

Samedi 14 décembre à 17h
(une visite guidée pour les parents est proposée simultanément)
De 6 à 12 ans

Gratuit
Réservations : +32 (0)65 613 850 - nathalie.pataniak@grand-hornu.be

Le surréalisme : bouleverser le réel - Ateliers d'écriture

Dans le cadre de l'exposition, participez à des ateliers d'écriture par Fleur Sizaire Les ateliers sont accessibles à partir de 16 ans. Samedi 16.11 et samedi 14.12 de 13h30 > 17h30 Tarif: 20€ (entrée + atelier)

Daniel Turner / Compresseur

À la suite de sa fermeture en 2022, Turner a entrepris de documenter la prison, réalisant des enregistrements sur le terrain et collectant divers matériaux en résonance avec l’atmosphère carcérale. Des objets utilitaires de la prison – tels que des matelas en mousse, des poignées de porte, des rideaux et des néons – ont été soumis à des traitements chimiques ou mécaniques de diverses intensités. Les radiateurs en fonte, autrefois vecteurs d’énergie et sources de chaleur, ont été fondus et transformés en formes solides et minimalistes. L’œuvre de Turner nous invite à réfléchir sur l’influence des environnements sur nos expériences. À travers des distillations matérielles qui transposent à la fois le lieu et sa matérialité, Turner éveille des réactions psychologiques vives, tout en faisant preuve d’une grande économie de moyens.